Y a-t-il des impacts psychologiques?
Bien entendu,
le virus du papillome humain a des impacts physiques, mais il peut aussi
occasionner des impacts psychologiques. Les inquiétudes sont souvent liées au
mode de transmission sexuel de l’infection et au fait du possible développement
d’un cancer. Certains sentiments comme le rejet (66%), la culpabilité (60-78%),
l’inquiétude de transmettre l’infection (73%) et la peur du jugement négatif
(73%) peuvent se faire ressentir pour la personne étant infectée. Une étude
démontre que les émotions reliées au diagnostic du VPH sont majoritairement
aussi la colère, la dépression, l’isolement, la honte, l’anxiété et la crainte.
Bref une tonne d’émotions négatives! D’après une expérience réalisée avec un
groupe d’étudiants universitaires, les émotions varient selon plusieurs
critères dont le niveau de connaissance de la personne du virus contracté par exemple.
Finalement, l’impact psychologique est à long terme et peux avoir plusieurs
conséquences sociales au fil du temps (moins spontané, diminution du plaisir
sexuel…).
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